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Notre approche & le contexte

La prévention et le traitement de la douleur chronique
et de la douleur aiguë

Des études précliniques ont démontré que la TAFA4 a un potentiel considérable en tant qu'analgésique pour le traitement de la douleur chronique post-opératoire et neuropathique. 

La douleur, qu'elle soit chronique ou aiguë, est une affection fréquente dont le traitement est difficile. L'absence de traitement efficace est un problème sociologique important qui a des répercussions sur le bien-être des patients. De plus, la douleur chronique peut être débilitante et a un effet majeur sur le moral des patients, les rendant plus sensibles à la dépression.

Douleur CHRONIQUE

La douleur chronique postopératoire (DPC) est une préoccupation économique et sociétale majeure en raison des coûts élevés des soins de santé et des taux d'absentéisme qu'elle génère. En moyenne, un patient sur cinq développe une douleur chronique postopératoire après une intervention chirurgicale. Environ 500 000 personnes par an souffrent de douleur chronique postopératoire en France, et cette condition a un impact significatif sur la qualité de vie de ces patients. Ladouleur chronique postopératoire reste mal comprise et est sous-diagnostiquée, ce qui constitue un problème majeur pour les systèmes de santé.

La douleur chronique postopératoire peut survenir chez 10 à 50 % des patients subissant une intervention chirurgicale, tandis que 2 à 10 % d'entre eux souffrent de douleur aiguë.

La douleur chronique postopératoire est l'un des principaux motifs de consultation des centres anti-douleur. L'amputation, le cancer du sein et les opérations du thorax et des hernies discales sont les causes les plus probables de douleurs chroniques induites. Après la douleur lombaire, la chirurgie est la deuxième cause la plus fréquente de douleur neuropathique dans la population générale.

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interventions chirurgicales sont réalisées chaque année dans le monde.

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Personnes

La douleur chronique se manifeste en moyenne chez 20 % des personnes subissant une intervention chirurgicale et constitue l'un des principaux motifs de consultation dans une clinique de la douleur.

Douleur neuropathique

La douleur neuropathique se caractérise par des symptômes désagréables, tels que des douleurs fulgurantes ou des sensations de brûlure, des engourdissements, des sensations altérées et des sensations très difficiles à décrire.

Selon l'Association internationale pour l'étude de la douleur, la douleur neuropathique résulte directement d'une blessure ou d'une maladie affectant le système somatosensoriel. Il n'existe pas de traitement efficace à long terme pour de nombreux patients souffrant de douleurs neuropathiques, certains cas s'avérant réfractaires aux analgésiques les plus puissants, tels que la morphine . Les antiépileptiques ou les antidépresseurs sont les médicaments les plus fréquemment prescrits, malgré leurs effets indésirables connus.

Selon l'enquête épidémiologique STOPNEP (Étude de la prévalence des douleurs neuropathiques) réalisée en France (source : Livre Blanc de la Douleur), la prévalence des douleurs neuropathiques dans la population générale est de 7% en France, et ces douleurs sont modérées à sévères dans 5% des cas.

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Des douleurs ou des sensations de brûlure désagréables sont ressenties par 8 % de la population mondiale.

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Les douleurs neuropathiques modérées à sévères touchent 5 % de la population.

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